Corot left insurgent Paris on the last possible day: April 1st, 1871. La guerre civile éclatait. Malgré la tristesse de ce spectacle, Corot n'était pas disposé à le fuir. L'affectueuse sollicitude de M. Alfred Robaut, venu pour le voir le 18 mars, le décida à partir. Il se mit en route pour le Nord le Ier avril et y séjourna pendant toute la durée de la Commune: à Arras d'abord, dans la maison de son ami Dutilleux, puis à Douai, chez M. et Mme Robaut. Les angoisses de son coeur, affecté par les douloureuses nouvelles qui arrivaient de Paris, n'arrêtèrent pas le travailleur(Étienne Moreau-Nélaton, 1905).